BALZAC, Honoré de
La peau de chagrin
Si tu me possèdes tu possèderas tout.
Mais ta vie m’appartiendra. Dieu l’a
voulu ainsi. Désire, et tes désirs
seront accomplis. Mais règle
tes souhaits sur ta vie.
Elle est là. A chaque
vouloir je décroitrai
comme tes jours.
Me veux-tu?
Prends. Dieu
t’ exaucera.
Soit!